Sélection hôtel - Week-end Bien être au Dolce La Hulpe Brussels

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Profitez d’un week-end bien-être pour vous détendre au Dolce Dolce La Hulpe Brussels, week-end detox, spa, restaurant...

par Fanny Sylvestre - Admin 320

Le bien-être bien pensé

Douce, douce, douce la vie au Dolce La Hulpe Brussels le week-end

Incroyable lieu niché au coeur d’une immense forêt de hêtres, à l’orée de Bruxelles, l’hôtel Dolce La Hulpe, haut-lieu de séminaires, de team building, se transforme en douceur le vendredi soir venu…
A l’arrivée du week-end, de la cuisine au spa, de la salle de fitness au room service, du bar à l’accueil, tout l’hôtel passe en mode « relax  » pour assurer à la clientèle un absolu bien-être.

Les participants aux séminaires laissent place aux amoureux ; les hommes d’affaires venus pour stimuler leurs cellules grises s’effacent devant ceux qui souhaitent au contraire ne plus penser à rien, alors que les businessmen redeviennent des pères de famille.

Dolce La Hulpe Brussels met tout en oeuvre pour que le week-end retrouve sa fonction première :
être un vrai temps de pause. Profitant de son cadre idéal, de son chef particulièrement bien inspiré et de ses installations spa & fitness, cet hôtel sait combler avec autant de plaisir la clientèle studieuse de la semaine que le public plus détendu du week-end, avec pour seul mot d’ordre : être bien !

Le bien-être à la carte… du restaurant à celle du spa

Le bien-être a beau être une notion toute personnelle, chacun trouve au Dolce La Hulpe Brussels la
formule idéale de sa sérénité. On compose son week-end selon son envie, tout comme ses menus.

Une table dont on se souvient

Pascal Marcin dirige une cuisine où il laisse exploser créativité et talent, s’inspirant de l’instant et du produit. Le week-end se fait pour lui terrain de jeu stimulant et challenge permanent, une clientèle locale venant tout spécialement à la table du TreeO, second restaurant plus intimiste de l’hôtel, ouvert exclusivement les jeudis, vendredis et samedis soirs. L’hôtel propose des forfaits bâtis autour de l’offre restauration.

Après avoir rassasié la clientèle d’affaires de manière « spirituelle  » avec des plats favorables à la concentration et à l’activité cérébrale - le tout garanti par un très sérieux label « Food for the Brain » - le chef concocte des plats gourmands, raffinés et tout aussi intelligents le week-end. Il passe du restaurant Argan, ses 360 couverts en buffet et 50 à la carte par service, au cadre plus intimiste du TreeO.

Ceux qui ont opté pour un week-end Détox découvrent avec plaisir que l’on peut manger sain, « dépuratif  » et léger sans aucune frustration. Ces deux jours sans graisse, pain, alcool ni sucres rapides deviennent prétextes à l’exploration de mets inventifs où les herbes aromatiques, les assaisonnements aux parfums d’orient ou de Méditerranée et autres graines germées font passer les plats végétariens dans une autre dimension, celle du bonheur.

Les poissons, introduits aux menus le second jour, se dégustent dans la splendeur de leur finesse, alors que leurs accompagnements subtils enchantent les palais les plus délicats.
Ce programme Détox est un véritable exercice de style, qui n’est pas l’addition de trois repas par jour, mais la conception d’un programme où s’alternent sensations et envies, vrais repas et collations, redécouverte de produits simples juste sublimés par des accompagnements savoureusement créatifs.
Sans être une cuisine de régime, sous l’impulsion de ce chef bouillonnant d’idées et ultra-exigeant, les menus Détox font découvrir de nouvelles saveurs, des alliances inédites, des présentations originales qui font s’extasier les convives… qui plus est à des prix très raisonnables.

Les becs fins qui dédient leur week-end au plaisir gourmand assumé et affirmé se laissent séduire par les cartes du TreeO ou de l’Argan, les deux restaurants baignés de lumière et s’ouvrant sur la forêt.

Pascal Marcin retravaille les classiques, tant en version salée que sucrée, avec une fantaisie parfaitement maitrisée, d’étonnantes inventions, comme les mets proposés en trois cuissons à l’origine du nom du restaurant TreeO (« trio  ») où rien de superflu ne vient ternir l’assiette.
Les deux menus Découverte qui y sont proposés permettent une exploration de saveurs et de l’approche très personnelle du chef, qui n’a pas été formaté par ses maîtres. On comprend dès la première bouchée que cette cuisine là n’est qu’inspiration et non copie, qu’elle fait vibrer les produits simples avec l’excellence de sauces inventives, de cuissons maitrisées, d’équilibres fins entre les effets, les goà»ts, les dosages. Tout est juste, sans chichi – simplement délicieux, sans faiblir sur la pâtisserie qui atteint elle-aussi un remarquable niveau de finesse.

Une cuisine habitée

A 35 ans Pascal Marcin s’impose avec son approche rafraichissante, intelligente et ouverte de la cuisine. Ses credo : écouter, transmettre, évoluer. Loin de se reposer sur des lauriers déjà bien tressés, Pascal Marcin met son coeur et sa bonne humeur au service de sa table, menant avec passion sa brigade vers le succès et l’inventivité renouvelée (car il en faut pour passer de la cuisine destinée aux hommes d’affaires exigeants et pressés à celle des clients du week-end venus éveiller leurs papilles à de nouvelles saveurs !).

Pascal Marcin ne cesse de se lancer des défis tout en oeuvrant pour ses confréries : Euro-Toques, la Chaîne des Rôtisseurs et les maîtres cuisiniers de Belgique. Aussi vient-il de rafler le prix du meilleur risotto d’Isola della Scala. Cette ville italienne où le riz local très particulier est vénéré, organise chaque année un concours pour ce plat, où l’on attendait plutôt un italien en tête du palmarès (comme ce fà»t le cas durant les 44 éditions précédentes), qu’un belge capable de revisiter la recette ancestrale.

Dans l’envie de partager et d’échanger, Pascal Marcin vient de recréer l’association des chefs exécutifs d’hôtels de Bruxelles qui lance un concours emblématique autour du club sandwich… pour mettre en lumière des jeunes professionnels prometteurs.
Pascal Marcin ressemble à sa cuisine pétillante, emplie de curiosité et d’intelligence. Récompensé par ses pairs, il est lauréat cette année des « maîtres cuisiniers de Belgique  », l’équivalent du « meilleur ouvrier de France  ».